Emmanuel Loi

Né en 1950 dans les Vosges

Emmanuel Loi, écrivain et critique d’art.

Son œuvre, près d’une trentaine de publications, touche des domaines aussi différents que la littérature, le théâtre, la critique d’art et des essais.
Il s’intéresse particulièrement aux auteurs objets d’une malédiction ou d’une méprise. Soucieux de saisir la divergence (autre nom de la dissidence), il tente d’appréhender aussi bien dans « Artaud », Marseille amor, L’Argent et la mort que dans Je devrais me taire le poids de la pression de l’exclusion ou de l’insertion dans l’espace public.

Il vit actuellement en Haute-Provence et se consacre aux arts graphiques.

Notice sur Wikipedia

Quelques ouvrages et articles récents de Emmanuel Loi :

  • Payer le mal à tempérament (sur Sade et Fourier) de Simone Debout, présentation de Emmanuel Loi, Quiero, 2021.
  • « Écrire à minima », préface à De la nuit vers le jour en passant par Tonnerre de Damien Gete, Le Serre de Doux, 2020.
  • Prendre part (sortie de résidence au « Silence du monde »), Le Serre de Doux, 2019.
  • « Artaud » in revue L’Infini n°144, Gallimard, 2019.
  • Marseille Amor, Le Seuil, 2013.
  • Le Jeu de Loi, Le Seuil, 2012.
  • Textures du jour sur la peinture de Gilles Bénistri, Archétype, 2012.
  • Spooky Tooth : « Two » : ce pou qui tousse, Le Mot et le reste, 2008.
  • Altitudes, photographies d’Alfons Altville, Images en manœuvres 2007.
  • Une Dette (Deleuze, Duras, Debord), Le Seuil, 2007.
  • Je devrais me taire : Spinoza, Hölderlin et autres essais, Exils, 2004.
  • Peine capitale, Flammarion, 2003.
  • Les Mains en l’air, suivi de Braquage, mode d’emploi, Léo Scheer, 2002.
  • D’ordinaire : lettres et journal de prison, 1976-1981, Al Dante, 2000.
  • L’Argent et la mort : esquisse pour une critique de la protection sociale, Via Valeriano, 1992, réédition Léo Scheer, 2003.
  • L’Écriture de peu, Christian Bourgois, 1979.